Aphrodite sentit sa poitrine se contracter. Elle sentait toujours le doux contacte de ce ‘’prince des cieux’’ avec elle. L’ange avait l’habitude de se sentiment de vide, de néant... Elle avait ce merveilleux pouvoir elle aussi. E pouvoir où, pendant un fraction de seconde, tu n’étais que poussière. Dans ses début, elle a eut peine à s,habituer au sentiment qu,elle ne pouvoir respirer... Ce vide lui faisait peur... Désormais, elle ne cessait d’utiliser se pouvoir car elle aimait disparaître que pendant un instant, personne ne pouvait savoir où elle allait et si elle reviendrait. Elle trouvait ses instants magiques et fabuleux! Pourtant, cela se passait en une seul et unique fraction de seconde. Elle réapparut alors dans une pièce. C,était une chambre somptueuse et très spacieuse. Il y avait un lit gigantesque et douillet. La décoration était à couper el souffle! C’était sûrement la chambre de David! Du moins, une chambre que l’on ne réservait pas à n’importe qui! Elle ne savait pas à qui était la chambre mais une chose était sure, ce n’était certainement pas à elle! Celle-ci était de trop peut d’importance pour avoir une suite si.. Impériale!? C’était très certainement une suite digne du grand David... Mais peut-être que c,était à une personne qui était importante pour le dieu qui vivait ici... Mais qui? Peut importe, elle ne la connaissait certainement pas! Elle était toujours très coller à David. Elle releva la tête et dit finalement:
-c,est votre chambre impériale majesté? C,est une chambre Fabuleuse ici! Vous avez de la chance d,avoir un palais comme celui-ci... D’avoir un maison... D’avoir des amis et des gens qui tienne à vous...
En disant cela, elle s’était un peut décolla de David. Elle repensait encore une fois à son passé. Au fait qu,elle n,avait ni maison,ni ami et plus de famille. Elle était seul au monde et si un jours elle disparaîtrait, personne ne s’en soucierait! Elle eut un petit soupire. Elle avance dans la chambre. Elle parcourut environ un mètre sans toute fois voir devant elle. Aphro était perdu dans ses penser. Elle posa un main sur un des barreau du lit à baldaquin et l’effleura de sa main féminine. Elle se sentait si vulnérable,si seul...